AFA, NYC, 22.9.17
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The Betrayed Square : among 2018 best movies for prof & critic Nicole Brenez, 7.1.19
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The Betrayed Square
"... a work that allows both the sound and visuals to hold equal space. The beautiful dissonance of the evocative sounds draws one into a sensory experience that offers a new way to see and, more importantly, hear those critical events." - Toni Bell, 4 days at Ji.hlava International Documentary Film Festival, in Documentary Magazine, 3.11.18
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The Betrayed Square
Catalogue Pravo Ljudsky Film Festival Sarajevo 2018, p.61
Programme "Between the seas" Ji.Hlava International Documentary Film Festival 2018
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Fiascos en revue, La Liberté, Thierry Badoud – 21 juillet 2018, à propos du n°4 de la revue La 5e saison où est paru Sur le pont
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Interview à propos de Trahir la place, Belfort, la Bibliothèque en vadrouille – 18 septembre 2016
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Trahir la place : Le
Temps – 25 septembre 2015
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Crevures,
mars 2016
-"Récrire, c’est alors à la fois réécrire et récrier, recréer et récuser", Viceversa Littérature
-"Récrire, c’est alors à la fois réécrire et récrier, recréer et récuser", Viceversa Littérature
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"Crevure
en chef", Aurélie Cuttat, Les culturbitacées, Radio Grrif
– 16 mars 2016
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"Le
Jura poétique et corrosif", Tamara Bongard, La Liberté –
26 mars 2016
- "Les délirantes Crevures de S. M.", Pascale Stocker, Le Quotidien jurassien – 26 mars 2016
- "Les délirantes Crevures de S. M.", Pascale Stocker, Le Quotidien jurassien – 26 mars 2016
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"Le Jura sur la langue", Nicolas Verdan, Terre & Nature
– 31 mars 2016
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Recension par Alain Bagnoud sur son blog
– 22 avril 2016
- Recension par Fabien Vélasquez sur Sitaudis.fr – 5 mai 2016
- "Jeunes jours ivres au Jura", Stéphane Babey pour Vigousse – 13 mai 2016
- Recension par Fabien Vélasquez sur Sitaudis.fr – 5 mai 2016
- "Jeunes jours ivres au Jura", Stéphane Babey pour Vigousse – 13 mai 2016
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Recension par Francis Richard sur son blog
– 25 mai 2016
- "Coups de mâchoires", Philippe Simon, Le Temps – 11 juin 2016
- "Coups de mâchoires", Philippe Simon, Le Temps – 11 juin 2016
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Recension dans "Jura l'original n°9" – juin 2016
- "Auteur sur HP", RFJ – décembre 2017, à propos d'une lecture de Crevures, @Edicion, Bienne
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Recension
de Bolidage sur sitaudis.fr
– février 2015
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"Habiter l'espace public
avec du son", QJ, Delémont – 03.08.2014, à propos de Pantogreffe @Pantographe, Moutier
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Unstillbare
Ruhewelle @Flatterschafft, Basel, Tageswoche
– 18.06.2014
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Bolidages
2012-2014
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à Basel, 03.05.2014, Interview
am frühen Morgen für die Tageswoche
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à Delémont, Cour du Château, 22.09.13, shootée et enregistrée
par We
Find Wildness 89
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à la Citadelle de Belfort, 28.09.13, recension dans Le Pays,
29.09.2013 :
-
à Fribourg, 2012: Dimanche, au cœur de la vieille ville de
Fribourg, un ciel menaçant et lourd planait au- dessus des têtes.
Toutes les conditions étaient ainsi réunies pour faire de Bolidage
un moment de sublimation sonore et d’hallucination collective.
Huit voitures de tuning ont amplifié la composition sonore composée
par Antoine Chessex et interprétée à l’orgue par François
Seydoux. Imaginé par Stéphane Montavon et mis en scène par Gilles
Lepore, Bolidage a gagné son pari, en arrachant l’assistance
à la pesanteur de l’espace et du temps.
- onsite comment by art-tv.ch, 01.07.12
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review by link-art.org,
06.07.12
-
review by la
liberté, 03.07.12
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migros magazine, 11.06.12, p.75
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Les
écoutis le caire – 2010
Et
dans cette continuité, le temps du Caire, mélopée de la ville,
flux, lié, indivis, sans tranches horaires. C'est Le Caire, oui,
c'est le Caire, cette musique, le son des balais, le son des
chantiers, les sons de l'artisanat qui se travaille dans la rue, les
klaxons, bien sûr, identité du Caire, mais travaillés avec
discrétion, en décalage du cliché, c'est Le Caire mais cette
reconnaissance n'est que le bonus d'une musique, riche et forte, qui
s'écoute pour elle-même et à laquelle, en contrepoint, le texte
spatialisé apporte une construction par ruptures. Fait d'éclats,
d'énonciations multiples, d'énoncés tronqués, disparates, le
texte dit la pénétration du singulier par le commun, la
fragmentation de la continuité, de la pensée, de la parole, de
l'existence, dans cette ville qui la rend impossible et malgré
l'impossible, malgré l'entrave, d'une vitalité passionnante, ce que
le texte dit, dans le chahut des paroles qu'il fait surgir du blanc
qui les coupe.
(pour
sitaudis.fr par Nicole
Caligaris)
> autres recensions sur Les écoutis le caire
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[wirvwar]
– 2010
Au
Festival du Belluard, à Fribourg, les artistes suisses Gilles Aubry
et Stéphane Montavon se sont appliqués à faire émerger par le son
une poétique locale, celle du banal ou du disparu. Ils ont visité
Conforama, aux portes de la ville, «high-definition dedans,
autoroute dehors», la cathédrale ou les anciens abattoirs racontés
par un homme qui y amenait des vieux chevaux. Au Caire, où ils
résidaient à l'antenne de Pro Helvetia en 2007 et 2008, ils se sont
appliqués à comprendre par le son le fonctionnement urbain: dans
cette ville célèbre pour sa diversité et son intensité sonore,
chaque catégorie de commerçant ambulant recourt à un signal
différent: le vendeur de gaz tape sur ses bonbonnes, le brocanteur
lance un cri issu d'un terme italien signifiant «antiquité». Ces
manifestations sonores règlent aussi la répartition spatiale du
lieu. Un CD, Les Ecoutis Le Caire (2010, Gruenrekorder) en est né.
En 2009, c'est «l'économie du bâtiment» qu'ils explorent avec le
dyptique Dalle sur sous-sol, sur la base d'un après-midi passé sur
un chantier avec des ouvriers, entre accents immigrés,
marteau-piqueur et vocabulaire spécialisé. «Ce qui aurait pu
n'être qu'une simple nuisance – couler une dalle de béton –
s'est révélé passionnant.» Gilles Aubry réfute au passage l'idée
d'un bruit-limite que le corps humain ne saurait plus intégrer.
Musicien, il joue dans un groupe de noise (Monno), et «aussi bien le
volume que la nature des sons utilisés dépassent nettement
l'agression sonore d'une ville. Pourtant, cette musique peut être
synonyme de plaisir. Tout dépend de l'état d'esprit.» La notion de
limite est dynamique.
–
extrait de « Bruit
ou son, c'est selon », Le Courrier, Genève, 20 août 2010
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